Calvados sans frontières

On vous avait pré­ve­nu. 2024 serait une année réso­lu­ment amé­ri­caine pour les dis­til­le­ries de Calvados.
Alors, depuis six mois, on s’est muni de nos plus beaux fla­cons, on s’est paré de nos plus beaux accents et on a ramené nos pommes outre-Atlantique.

En mars d’abord, avec de pre­mières ren­contres à San Fran­cis­co, Los Angeles, ainsi qu’à la Nou­velle-Orléans.

Et plus récem­ment, en juin, sur la côte Est, avec Miami, Austin et Washing­ton DC.

Et pour conclure ce pre­mier semestre en apo­théose : 2 jours au Bar Convent Brook­lyn.

À chaque escale, on y a orga­ni­sé des mas­ter­classes pour faire décou­vrir le Calvados sous toutes ses cou­tures : ses ori­gines, son éla­bo­ra­tion, ses appel­la­tions, sa dis­til­la­tion, son vieillis­se­ment, ses variations.
Mais aussi et sur­tout sa dimen­sion éco-responsable.

Ces mul­tiples ren­contres ont aussi été l’occasion pour les convives de décou­vrir les gammes de chaque dis­til­le­rie lors d’intenses et enjouées séances de dégustation.

Dans un second temps, des dîners ont donné lieu à de fruc­tueux échanges autour de la place du Calvados dans « un back bar » ou dans l’optique de pai­rings délicats.
Autre­ment dit, mieux com­prendre les poten­tia­li­tés offertes par notre « French Apple brandy », y com­pris au tra­vers de la mixologie.

Et pour jus­te­ment appuyer ce propos, nous avions décidé de mettre l’ac­cent sur 4 cock­tails – aux typo­lo­gies assez dif­fé­rentes – qui per­met­taient d’offrir un aperçu assez exhaus­tif du pour­quoi et du com­ment tra­vailler le Calvados : le High­ball d’abord, l’Appletini, l’Espresso Mar­ti­ni et l’iconique Jack Rose.

Et puis, au Bar Convent Brook­lyn, autour de Nico, on a encore fait briller le Calvados.

Deux mas­ter­classes, des dégus­ta­tions, des dis­cus­sions pas­sion­nantes : le Calvados a conquis les cœurs.

Le bilan ? Des retours plus que posi­tifs, un enthou­siasme débor­dant et des ren­contres enrichissantes.
Autant dire que l’année pro­chaine, on remet ça !

Cheers